Ça a beau être notre premier numéro d’après confinement, la pandémie et ses conséquences pour notre réseau sont encore bien présentes dans ses pages. C’est qu’à l’évidence, la fin du confinement, non seulement ne marque pas la fin du Covid, mais est surtout loin de sonner la fin d’une crise qui mettra des années à vraiment se résorber… On entre mainte-nant dans cette période de transition entre le confinement strict, difficile à vivre, bien sûr, mais qui avait au moins l’avantage d’être clair – et un « après » qu’on imagine meilleur, en tout cas pas pire, mais lourd d’in-certitudes…
Alors la première chose à faire, c’est de compter nos billes pour voir où on en est : c’est le sujet de ce numéro. Avec la FDJ et le PMU qui évoquent dans nos pages l’après confinement, les conséquences de la crise et les mesures mises en place pour aider le réseau. Avec Marcel Bénezet, pré-sident de la branche Cafés, bars, brasseries du SYNHORCAT-GNI, qui nous parle de la reprise d’activité dans le secteur Cafés- hôtels-restaurants. Avec Francis Palombi, président des Commerçants de France, venu en compagnie du même Marcel Bénezet débattre de l’activité bar-brasserie avec les buralistes, le 12 mai dernier.
Mais aussi avec notre dossier, consacré aux initiatives mises en place par des collègues pour tenir bon pendant le confinement. Car notre profes-sion, je veux le dire ici, s’est illustrée pendant cette crise par sa capacité de résilience et d’adaptation. Par son sens citoyen, aussi : pendant deux mois, on a accompagné les Français au quotidien et on peut en être fier – jusqu’à l’opération menée par notre fédération pour fournir des capes de pluie à l’hôpital public, via la plateforme sosequipements.fr.
Et maintenant, il faut rebondir, toujours réactifs, toujours déterminés. Travailler avec les contraintes qu’on a connues pendant le confinement, mais sur le long terme. C’est pourquoi notre fiche pratique traitera des différents types de masques, ou notre Fil en aiguille, de l’importance du référencement Google pour gagner en visibilité : il va falloir s’adapter. Et ça, on sait faire !
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