Février 2018

N° 1356 - Février 2018

Buralistes Mag N°1356 - Février 2018

Edito

Parler de ce qui va bien

La situation étant ce qu’elle est, il n’est pas rare qu’on se serve de ces pages pour pousser cris d’alarme et coups de gueule. Et c’est très bien : la technique de l’autruche, c’est le meilleur moyen pour que les choses s’enveniment. Quand il y a un problème, il faut le dire. Mais quand les choses fonctionnent bien, là aussi il faut le dire. Et même le rappeler de temps en temps, ça ne peut pas faire de mal. Alors ce mois-ci, on a décidé de consacrer notre dossier à quelque chose que vous connaissez tous, mais qui mérite qu’on s’y arrête malgré tout : on a décidé de vous parler des moyens de communications dont dispose la fédération. Le magazine, l’annuaire, la page Facebook et son groupe fermé, les Trophées, les sites buralistesidf et buralistesmag, les alertes SMS, les alertes mails… Car ce sont eux, aussi, qui garantissent l’efficacité de notre action syndicale. Tous ces supports, pertinents et largement utilisés : ce sont eux qui donnent du poids à notre fédération.

Puis il y a nos partenaires. Eux aussi jouent un rôle déterminant dans la vie de notre organisation. Les Douanes, notre autorité de tutelle : nos relations, depuis quelques années, ont pris un nouveau tournant, vers plus de collaboration, plus d’écoute et de dialogue. Et le mois dernier, à notre traditionnel déjeuner d’échange de vœux, même si le nouveau sous-directeur, Ivan Zerbini, avait été retenu à la dernière minute par un rendez-vous ministériel, nous avons pu échanger de façon constructive, en présence de notre nouveau président, Philippe Coy.

Il y a la SAF, Strator, Logista… Notre dernier conseil d’administration, le 18 janvier, s’est déroulé dans les locaux de la SAF, à Vincennes. C’est Hervé Demaison, le directeur général, qui nous accueillait, en présence de Laurent Bendavid, président de Logista et Jacques Touret, nouveau président de Strator : autant de partenaires avec qui nous avons pu échanger et avancer.

Alors oui, bien sûr, notre profession est inquiète. Mais c’est justement pour ça qu’il faut parfois prendre le temps de se rappeler qu’il y a aussi des choses qui vont bien.

BURALISTES COPYRIGHT 2017