Novembre, ce sera bientôt Noël et les fêtes de fin d’année. Mais une première fête vous est déjà proposée le 23 novembre prochain au Lido, « Les trophées des buralistes », une soirée animée par Cyril Féraud. En attendant nous continuons de nous battre et de nous adapter pour mieux exercer notre noble métier. Ainsi nous dénonçons dans ce numéro ce paradoxe des pouvoirs publics qui font de novembre le « Mois sans tabac », mais qui dans le même temps ne font rien pour mettre fin à l’activité de Carklop qui organise le covoiturage pour l’achat de cigarettes moins chères hors de nos frontières. Les douanes ont officiellement porté plainte et nous invitons tous les acteurs concernés à suivre leur exemple.
Nous revenons également sur le succès du dernier salon Losangexpo qui a une fois de plus confirmé sa place de grand rendez-vous annuel des buralistes avec 198 exposants et plus de 10 000 visiteurs. Nous saluons par ailleurs Serdar Kaya qui, à seulement 34 ans, vient d’être élu à la présidence de la confédération nationale lors de notre dernier congrès et qui succède à Philippe Coy.
Notre dossier du mois est consacré à la révolution en cours dans les transports franciliens. D’ici à 2030, le visage de la mobilité en Île-de-France sera en effet profondément transformé ce qui ne manquera pas d’impacter l’activité des commerces de proximité et tout particulièrement des buralistes.
Dans nos pages Rencontres, nous faisons la connaissance de Karine, buraliste à Fontainebleau, qui nous dit sa passion pour le cigare.
Quant à nos pages pratiques, elles vous révèlent tout sur le nouveau contrat de gérance et sur le nouvel accord Logista.
Notre métier ne cesse d’évoluer. La Fédération doit elle aussi se transformer et s’adapter. Renforcer notre rôle d’acteur de terrain, relayer nos actions auprès des adhérents, animer le réseau francilien, et porter des messages forts sur l’avenir de la profession, telle est notre ambition. Cela passe par un nouveau plan de communication. Ce numéro de « Buralistes » est donc le dernier mais nous vous donnons rendez-vous début 2026 pour une nouvelle communication pleine de surprises. Plus que jamais nous voulons défendre et promouvoir notre métier, et comme l’écrivait Giuseppe Tomasi di Lampedusa « Il faut que tout change pour que rien ne change ! »
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